vendredi 12 février 2010

Les cascades d' Ouzoud


Où dormir à Marrakech ?

Situées à 150 km au nord-est de Marrakech, ces étonnantes chutes d’eau de 110 m de hauteur sont classées parmi les plus beaux sites du Maroc et constituent l’une des attractions naturelles les plus remarquables de l’Atlas marocain.

L’oued Ouzoud (« ouzoud » signifiant ‘olive’ en langue berbère, référence aux oliveraies de la région) se précipite au fond d’un gouffre verdoyant, pour rejoindre le canyon de l’oued el Abid, à 2 km de là. L’irrigation permet de nombreuses cultures, en particulier de splendides oliveraies.

Une promenade intéressante (pouvant durer de 2 à 4 h) consiste à descendre en aller-retour l’oued en aval des cascades, par une succession de bassins bordés de roseaux, où vous pourrez surprendre des
martins-pêcheurs et de petites chutes d’eau.

Au-delà des cascades, une piste (21 km) pour l’oued Abid, aux gorges si profondes (de 400 à 600 m) qu’on n’en voit pas le fond. La piste descend en lacets jusqu’à l’amont des gorges, traverse l’oued et continue dans un bassin cultivé, à travers un paysage d’oliveraies.

lundi 8 février 2010

Marrakech, Le Jardin Majorelle


Où dormrir à Marrakech?
Le Jardin Majorelle fut crée dans les années 1920 par le peintre Jacques Majorelle, invité par le maréchal Lyautey en 1917 et si enthousiasmé par ce pays qu’il se fixa définitivement à Marrakech en 1922…

Cet ensemble remarquable fut ensuite restauré par le couturier Yves Saint Laurent au début des années 1960.

De multiples variétés de plantes s’y épanouissent : cyprès, palmiers, oliviers, fleurs aux couleurs éclatantes, bananiers, citronniers, lauriers, cactus, agaves,…

On peut visiter l’atelier du peintre aux murs peints d’un bleu vif (où sont exposées quelques unes de ses œuvres), transformé en musée d’art et d’artisanat islamique.

lundi 1 février 2010

Marrakech, La Maison Tsikiwin

Où dormir à Marrakech?

Ancienne demeure de haut fonctionnaire, elle fut construite au début du XXème siècle, dans le style hispano-mauresque. Superbe et grand riad fleuri.
Son dernier propriétaire, un Hollandais professeur d’histoire de l’art, décida d’y organiser une exposition permanente sur les arts populaires marocains (tapis zemmour, poteries du Rif et du Haut Atlas, poignards et bijoux berbères…